Métaphore

Il fait froid dehors

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Encore un chou. Et blanc avec ça...

Ce week-end, c'était la Braderie. Je l'ai déjà dit : à la Braderie, j'ai des sous ou je trouve des choses. Bon. Si je puis me permettre un autre rappel : j'ai eu la chance de tomber célibataire juste après qu'elle m'aie enfin décidé, pour le bien de notre avenir commun[1], à commencer à mettre de l'argent de côté.

Voilà pourquoi, cette année, j'avais en caisse de quoi acheter une voiture ou deux[2]. On comprendra aisément alors que malgré les heures[3] et les kilomètres[4], pas un seul petit morceau de mouche ou de vermisseau, ce qui n'est rien, parce que je n'en ai pas l'usage, mais surtout pas le moindre instrument intéressant. Comme l'a bien résumé mon camarade Adrien, qui en fit le même constat : Un accordéon et quelques guitares syndicales, c'est tout.

Ah si, j'ai retrouvé un peu de la même chose que l'année dernière, mais il est hors de question que je ne lutte pas contre cette impression toujours insupportable de m'être fait voler mon chez moi, et par des étrangers en plus !

Notes

[1] ne soyez jamais ce qu'elles veulent

[2] Ce qui serait idiot, j'en ai une, qui fonctionne très bien.

[3] Jusque tard.

[4] Quinze, log GPS en main. Et quand on sait la lenteur à laquelle oblige le slalom dans la foule, c'est un exploit.

Chou blanc

Cette année, à la Braderie, je n'ai rien trouvé d'autre que la peur de la croiser.

Il faut dire que j'en ai trouvé en quantité suffisante pour n'avoir pas envie de m'attarder.

Almirez Jazz bass

J'ai donc fait la braderie de Lille le week-end dernier, comme tous les ans. Et comme tous les ans, flâner dans la cohue ne m'intéresse guère, donc Julie et moi y sommes allés très tôt samedi, histoire de pouvoir arpenter le plus de rues possibles avant que la foule ne devienne trop compacte. Elle regardait les meubles, je regardais les instruments, et ce n'est pas totalement incompatible : à la Braderie, il y a trois vendeurs potentiels pour les instruments de musique : le gars qui s'y connaît, le gars qui n'y connaît rien, et le gars qui vend des meubles.

Vantage 725B

J'ai toujours eu plutôt tendance à profiter des occasions ponctuelles d'agrandir ma collection plutôt que de mettre de côté pour m'acheter des instruments à mettre sous clefs tellement ils coûtent cher. Ça m'a permis à plusieurs reprises de fréquenter des marques qui laisseront peu de traces dans la légende. Parmi ces marques, il y en a une qui a ma sympathie : Vantage. Les divers instruments de la marque que j'ai eu l'occasion d'utiliser étaient tous honnêtes, de bonne qualité et utilisables un peu plus loin que pour les premiers pas (je connais d'autres marques que je conseille pour les grands débutants qui veulent un premier instrument à faible prix tant qu'ils ne sont pas sûrs de leur vocation. Mais si la vocation se confirme, leur premier réflexe sera d'acheter ensuite une vraie guitare.)

Des Vantage, aujourd'hui, j'en ai trois, dont une basse. Son petit nom, c'est la 725b.

La meilleure thérapie

Voilà une braderie de passée et pour une fois, j'ai trouvé quoi faire de mes sous (j'en cause dans la semaine.) Je passais juste vous dire que, rapport à l'efficacité des médicaments, il vaut mieux faire des crises d'anxiété que des migraines, les remèdes sont bien plus efficaces.

Braderie 2005

Même les paranoïaques ont de vrais ennemis !
Topor

Le week-end dernier, c'était la braderie de Lille. Pour ceux qui ne connaissent pas, c'est une espèce de vide-grenier/Marché aux puces/Brocante en plein air qui dure deux jours, concentre la majorité des comas éthyliques de l'année sur la métropole lilloise et attire deux millions de personnes. Et moi.

C'est à la braderie de Lille que je dois une bonne partie de mes instruments de musique : des guitares, des orgues, des accordéons, des trucs bizarres... Avec toujours une règle de base assez simple : il y a des années où je trouve des choses intéressantes, et d'autres années où j'ai de l'argent.

Cette année, j'avais de l'argent.

Pierre Beuscher

C'est bien mon fils, tu n'en avais plus assez.
Ma mère.

Ça y est, la Braderie de Lille est passée. J'ai même trouvé quelque chose à y acheter, alors que j'avais des sous, c'est incroyable : d'habitude, j'ai des sous ou je trouve des choses intéressantes, mais les deux en même temps, c'est assez rare. En tous cas, ça m'a bien fait plaisir, vu que l'année dernière, j'étais un peu trop au Québec pour pouvoir participer.

Mais alors ? demande le public, qu'as-tu acheté ? À votre avis ? Ben une guitare, tiens... J'avais encore des blancs dans ma collection, il y avait l'un ou l'autre type de guitare qui brillait par son absence, un type surtout qui m'appelait depuis longtemps mais pour lequel existe peu d'instruments bon marché : les guitares manouches.

TR 606

Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée ;
Jean de La Fontaine

C'est totalement injuste... Je suis tombé dans un magazine sur une photo d'un engin que je possède : Une boite à Rythme Roland des années 80, du vintage, genre couverture de vintage magazine : un machin qui porte ses épaules le son de l'Acid et de débuts de la house music, bref un machin culte.

Et comme souvent les machins cultes, ça se vend un peu plus cher que l'abat-jour en laine de Mémé à la braderie. En l'occurence, ces même pas trente centimètres de long permettent d'acheter un très bel ordinateur, une guitare, une basse et de partir en vacances d'un seul coup. Et j'ai ça moi ?

Harmonium

t'es taré !
ma mère t'es taré !
mon père t'es taré !
ma sœur

Que voulez vous y faire: quand la famille a parlé, on ne peux plus rien dire! Mais pourquoi? Pourquoi? Que se passe-t'il ? M'en veux-t'on ? Pourquoi tant de haine ?

Il faut savoir que ce week-end, c'était la braderie de Lille (pour ceux qui ne connaissent pas, essayez d'imaginer un vide-greniers avec plusieur miyions de personnes), et comme d'hab', j'y suis allé en ayant l'intention de profiter de toute éventuelle affaire musicale. J'ai souffert. L'année dernière, j'était revenu les mains vides, n'ayant rien trouvé d'interessant, cette année... C'était plein: des instruments partout, et des beaux, si j'avais eu 15000 baoulz à claquer, ils seraient partis sans aucun problème.