Allez va, cessez de vous inquiéter, ceux qui s'inquiétaient. Cessez de vous réjouir, ceux qui se réjouissaient. Continuez à vous en foutre, ceux qui s'en foutaient : Je vais bien.
Archives août 2006
notule de mise à jour
Nouvelle couette
Publié par Ju, le 23/08/06, dans la rubrique zimages.
(lire d'autres billets sur : special guest )
Météo dans ma tête
C'est sidérant comme tout peut se mettre à déraper en même temps.
J'ai envie de me prendre une grosse, une énorme cuite, ça fait tellement longtemps que ça ne m'est pas arrivé...
Ça vaut mieux que l'envie de se pendre, non ?
Publié le 17/08/06, dans la rubrique humeurs.
(lire d'autres billets sur : angoisses )
David Gilmour en concert, au Grand-Rex, à l'Olympia et au théâtre antique de Vienne.
Allez, finalement, vous l'avez bien deviné : c'est Gilmour que je suis allé voir, et plutôt deux fois qu'une.
Dans le petit monde des fans, on se tient au courant, on savait donc depuis longtemps que son album allait sortir et qu'il allait partir en tournée. Quelques jours avant que les places n'entrent en vente, on a appris les dates et les lieux. On savait qu'il fallait se tenir à l'affut, parce qu'il n'avait pas l'intention de faire la tournée des stades, mais bien de se produire dans des salles à taille humaine. Ça veut dire beaucoup de choses, ça veut dire entre autres qu'il n'y aurait pas de places pour tout le monde.
J'étais donc le nez dans le guidon pour acheter mes places dès qu'elles seraient disponibles. J'avais regardé les dates : En France, il ne jouait que deux soirs, tous les deux à Paris : au Grand Rex d'abord, puis le lendemain à l'Olympia. Pour moi, ça a été vite réfléchi : ça serait l'Olympia, parce que c'est l'Olympia, merde !
Publié le 09/08/06, dans la rubrique lez'Arts.
(lire d'autres billets sur : Pink Floyd spectacle vivant )
Pink Floyd (et assimilés) sur scène.
J'ai découvert Pink Floyd (et en règle générale la musique) en 1985, ce qui était un très mauvaise année : le groupe, après un dernier album que beaucoup ont jugé décevant, ou en tout cas indigne des monuments qu'ils avaient produits par le passé, était considéré comme mort. Je le découvrais donc sur le tard, sur le trop tard, et j'allais me résoudre à adorer un dieu empaillé, j'avais raté le monument sur scène (car d'une part oui, je suis un adorateur inconditionnel, c'est quand même pratique d'être fan du meilleur groupe du monde. Et d'autre part, mes lectures m'ont vite appris que le Floyd sur scène ne ressemblait à rien d'autre et que ne connaître d'eux que leur œuvre enregistré n'était qu'approcher ce qui les rendait uniques.)
Et puis finalement, j'ai eu plutôt de la chance, pour quelqu'un qui s'était résolu à ne jamais les voir en concert : quelques mois plus tard, les magazines faisaient état de rumeurs qui annonçait un nouvel album malgré le départ de l'auteur compositeur principal du groupe, puis les rumeurs se faisaient annonces officielles, et la tournée allait suivre. Au fil des années, j'ai eu l'occasion de les applaudir en 1988 à Montpellier, en 1989 à Bercy, en 1995 à Montpellier encore, et la même année à Werchter.
Publié le 03/08/06, dans la rubrique lez'Arts.
(lire d'autres billets sur : Pink Floyd spectacle vivant )