Métaphore

Il fait froid dehors

Archives février 2005

Tout pour la musique !

La ma'ame Koz m'a lancé une chaîne, à moi de forger mon maillon avant de la passer à d'autres. Ça cause de musique, un petit questionnaire tout simple, histoire de commencer à apercevoir les goûts du questionné. Alors, hop, petit respondaire (c'est la suite du questionnaire) :

enfin !

Enfin un réveil avec de la neige sur les toits, les voitures et les trottoirs... Malheureusement, pfff, je sens que ça va pas tenir, ça, encore. Mais où sont le neiges d'antan ?

Ça me gonfle

Espace publicitaire pas à vendre. Remballez vos sous. Ne me cassez pas les couilles.

J'en ai marre des pubs.

Ce matin, sur la route, j'ai croisé une bétonneuse habillée en canette de boisson alcoolisée à la mode. C'est pas que je sois fan absolu des enseignes de barbier géantes auxquelles nous sommes habitués, mais les couleurs criardes partout dans les rues, les métros, mes magazines et n'importe quel support qui me tombe sous les yeux, ça me fatigue de plus en plus.

Et encore, j'ai une chance dans mon malheur, je ne regarde pratiquement pas la télé, et quand ça m'arrive, jamais TF1, ouf ! J'évite les plus gros excès... Quoi que... Non, on va dire que j'évite les excès les plus bruyants. Les plus gros excès, c'est autre chose. Et puis finalement, ce n'est même pas ça qui énerve le plus.

Ubuntu, phase 1

Il y a tellement de buzz ce derniers temps autour de la distrib Ubuntu que je me suis dit que j'allais l'essayer. J'ai fait ça hier.

C'est marron.

Carpe diem à la Saint Valentin...

Pour parler de résilience, il faut avoir connu une déchirure mentale tellement grande qu'il y a un moment dans sa vie où on a été mort.
Boris Cyrulnik

Et bien vas-y ! Un sacrifice n'a jamais tué personne !
Créon/Bienvenue au Paradis

Ben on n'a qu'à faire semblant : les alliances invisibles, c'est celles qui durent le plus longtemps !
Le fils du précédent.

Il y a huit ans et quelques jours, je m'apprêtais à passer ma Saint Valentin seul pour la première fois depuis des années, et je n'avais pas trop le moral. Genre vraiment pas du tout alors. Jusque là, c'est une fête qui ne m'avait pas plus intéressé que ça, mais cette année là, ça faisait quelques mois déjà que j'étais incapable de sortir d'une histoire pourtant bel et bien terminée (et je ne savais pas encore qu'il allait encore me falloir cinq bonnes années pour en sortir complètement, mais c'est une autre histoire.) Du coup, j'étais assez (et assez négativement) réceptif à la propagande déversée à longueur d'écrans publicitaires en son, en images qui bougent et en 4x3 sur les murs.

C'est pour ça qu'au jour dit, plutôt que de rester à déprimer en buvant tout seul devant ma télé, j'ai préféré aller boire tout seul dans un troquet (à l'époque, on y passait les Têtes Raides avant la mode, maintenant, c'est un bar karaoké) autrefois fréquenté par la demoiselle disparue et moi, du temps où ça allait mieux. Alors j'y suis allé. Et j'ai bien bu. Et j'ai bien déprimé. J'ai déprimé tout seul en buvant toute la soirée (oh, ça va, hein ! Il y a prescription !) en me répétant en boucle que ça ne pouvait pas être pire.

Ne vous inquiétez pas, on arrive à la partie rigolote.

les Épis Noirs : Bienvenue au Paradis

C'est pas vrai ?

L'enfer, c'est les autruches !

Je suis comme tous les autres dieux : je regarde la terre comme un fromage perdu. Et comme le corbeau de la fable, honteux et confus, je ne sais dire que : "Crois !", "Crois !", "Crois !", "Croâ !"

Ma femme, qui n'a pas pu venir non plus, vous fais transmettre ce message : "La vie, c'est court. La mort, c'est long. Et le mariage est un long cours."

Samedi, c'était direction le Théâtre de Ménilmontant pour aller voir les Épis Noirs. Pour ceux qui connaissent, c'est eux qui nous avaient déjà offert FlonFlon l'histoire de l'humanité. Pour ceux qui ne connaissent pas Flon-Flon, c'est bien dommage, parce que vous avez raté quelque chose, qu'on ne retrouve pas dans ce spectacle-ci.

D'ailleurs si : on le retrouve, mais en moins bien : dans la première demie heure, on retrouve beaucoup des aspects marquants du spectacle précédent, mais moins aboutis, moins magiquement placés, moins parfaits, si l'on considère, à l'instar du pote StEx, que la perfection, c'est non pas lorsqu'il n'y a plus rien à ajouter, mais lorsqu'il n'y a plus rien à retirer. Dans la première demie-heure. Après, ça change. Est-ce que c'est volontaire ? On donne d'emblée au fan du spectacle précédent ce qu'il désire, et très vite on part voir ailleurs si on y est, on explore d'autres horizons, et c'est bien.

GMail

J'ai pleiiiiin d'invitations GMail dont je ne sais absolument pas quoi faire... S'il y a encore des gens intéressés qui n'en ont pas, c'est cadô.

Souvenirs de Jordanie

Ces derniers temps, j'ai pris pas mal de retard dans mes mises à jour (j'essaie depuis des années de m'en tenir à au moins une mise-à-jour par semaine, même si j'ai cessé depuis longtemps de m'engager à le faire.) mais il faut dire que j'ai pas mal écrit : les comptes-rendus de mes vacances en Jordanie, ça représente pas mal de temps passé à taper le clavier, parce que dites vous bien que je n'ai aucune facilité : je sue sur mon clavier et ça me prend trois heures pour taper deux phrases.

N'empêche, avec tout ce que j'ai tapé sur ces vacances, il y a encore des tas de choses que je n'ai pas eu l'occasion de placer, sur la Jordanie, sur les jordaniens, sur les routes, sur les bâtiments, l'ambiance, l'accueil... Maintenant que j'ai terminé mes compte-rendus et eu l'occasion de mettre en ligne ce que j'avais tapé qui n'avait aucun rapport avec ça, je peux essayer de caser mes impressions manquantes...