Métaphore

Il fait froid dehors

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Communiqué annuel

Amoureuse.jpg, juil. 2022

Est-ce que c’est la peine de remuer la poussière ?

J’ai hésité avant de venir écrire un petit billet d’anniversaire, les quelques précédents n’avaient pas grand intérêt et ne servaient qu’à vérifier que la machine fonctionne toujours. Quand je pense qu’à une époque j’avais de quoi raconter plusieurs fois par semaines, et même qu’il m’est arrivé de poster plusieurs billets en une journée, je me dis qu’avec les années j’ai dû perdre beaucoup en imagination.

Sauf que je suis persuadé que non : ce n’est pas quelque-chose qu’on perd, en tous cas, je n’y crois pas. À chaque fois que j’entends dire que les enfants en avaient beaucoup et qu’on perdait ça en vieillissant, je me fais la réflexion qu’à mon avis, c’est plutôt qu’on gagne en exigeante. En tous cas, quand je fréquente des jeunes enfants qui jouent et s’inventent des histoires, je me dis que, pas plus que les miennes quand j’avais leur âge, elle ne vaudrait cher dans un scénario de film ou un roman.

Je n’ai pas moins de choses à raconter qu’avant, je suis juste beaucoup plus conscient que ce que je raconte n’a pas tellement d’intérêt (à commencer par ce que je suis en train de dire ici).

Alors pour ceux que ça intéresse, je vais juste faire un résumé rapide de l’année écoulée : il ne m’est pas arrivé grand-chose. Je n’ai pas voyagé, par exemple, et ça fait même un bout de temps, mais le virus ne m’en a pas donné tellement envie, j’ai vu trop de gens faire des prévisions, voire des réservations, suffisamment en avance pour voir les vagues se succéder et se retrouver au moment du départ avec de nouvelles restrictions et des billets sur les bras.

22 !

Tiens, c’est l’heure de l’anniversaire de ce blog. Que dis-je ? C’est l’heure des vingt-deux ans de ce blog. Il y a encore une paire d’années, je me vantais d’avoir “le plus vieux blog francophone encore en activité”, mais ça commence à se voir, qu’il n’est plus tellement en activité.

Alors simplement, on marque le coup. On vient faire un petit coucou avant de disparaître jusqu’à la prochaine mise-à-jour bi-annuelle ou moins.

Le monde ne va pas très fort, la France encore moins (je suis tellement content d’être devenu Belge. Ce pays n’est certainement pas parfait, mais je n’ai pas cette impression de fascisation rampante que j’ai en regardant les voisins). Moi, en tous cas, ça va à peu près bien.

Une bonne année ! (c'était une...)

Janvier, l’heure des bilans… Bon, de justesse, d’accord. Et je ne suis pas super branché bilans, mais il faut avouer que 2020, c’était quelque-chose de particulier.

Ça a été n’importe-quoi.

Et ça a été ma meilleure année.

Je ne vais pas forcément le crier sur les toits (sauf bien sûr que je suis en train de le faire, mais nous sommes ici sur un toit où il y a peu de passage), parce que je me rends bien compte que pour beaucoup de gens, pour la plupart des gens sans doute, c’est une année dont l’échelle de notation va de “pas top” à “complètement pourrie”. Et je ne voudrais pas qu’on aille lire une rodomontade dans mes “moi, ça va”.

Alwijn 2020

Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais j’ai eu un groupe, entre 2002 et 2012. Il s’appelait Alwijn et c’était ce qu’il était convenu d’appeler un groupe tribute, puisque le répertoire était constitué à peu près intégralement de morceaux de Pink Floyd.

Des groupes qui font ça, il y a a treize à la douzaine; Le notre avait quelques petites particularités : déjà, nous ne jouions rien d’après 1973. L’idée, c’était de reproduire l’expérience des concerts de Pink Floyd de la période 1968/1972, l’époque où ils passaient leur temps à improviser sur scène. Du coup, c’est exactement ce que nous faisions : les morceaux étaient traités comme des canevas de base, mais n’étaient jamais joués deux fois de la même manière. Nous ne savions pas en commençant un morceau s’il allait durer cinq, douze ou trente-cinq minutes, c’était selon l’inspiration du jour.

Une autre particularité, c’est que là où beaucoup de groupes tribute s’attachent à reproduire leur modèle le plus fidèlement possible, le notre prenait énormément de libertés. Il y avait forcément une certaine fidélité au modèle puisque le guitariste et moi (le bassiste) sommes d’énormes fans et que décortiquer les morceaux de Pink floyd a été pour lui comme pour moi une part énorme de notre apprentissage de la musique. Par contre, la connaissance qu’en avait notre batteur se limitait à “Learning To Fly” (mais on s’en foutait, c’était notre copain), et le claviériste qui nous a rejoint plus tard avait peut-être déjà entendu “Another Brick in the Wall” (mais il s’en foutait, ça lui semblait bizarre, et il aime bien la musique bizarre).

Le plus important, c'est d'être pas mort

Ceci est donc devenu l’endroit où je viens poser quelques mots, une fois tous les quelques mois, pour vous rassurer sur le fait qu’il me reste quelque vie. Je n’ose pas tellement laisser passer un anniversaire sans vous tenir un peu au courant (oui, ce blog a aujourd’hui 21 ans !)

Quelles sont donc les nouvelles ? Il y en a peu : je ne suis pas vraiment sorti du confinement, là où je bosse, on préfère ne pas prendre de risques, et pour le moment, on en est à “si vous devez absolument venir travailler sur place, vous pouvez, mais on doit s’organiser pour qu’il n’y ai pas trop de personnes en même temps. Donc dans la mesure du possible, continuez à privilégier le télétravail.” Je suis donc chez moi depuis mi-mars, j’ai deux sorties à mon actif sur les quinze derniers jours. Ceci mis à part, je ne mets le nez dehors que pour aller au ravitaillement.

Et vous savez quoi ? Je fais partie des gens qui le vivent très bien (ce qui n’étonne pas grand monde). Ne pas avoir à socialiser, ne pas entendre le son de ma voix pendant plusieurs semaines, c’est extrêmement reposant pour moi. Je conçois que ça puisse être difficile pour certains, mais je ne fais pas partie de ces certains. Le bon timing, pour moi, ça a été que mon coloc déménage une semaine avant le confinement. Non pas que la colocation se soit mal passée, elle m’a apporté beaucoup de choses et je suis heureux que ça se soit fait, mais même avec vingt ans d’amitié, la cohabitation 24h/24 dans un petit appartement aurait sans doute mis nos nerfs à rude épreuve, et la séparation juste avant qu’on manque d’air pour respirer l’un est l’autre était la meilleure chose qui puisse nous arriver pour les vingts ans d’amitié à venir.

J’ai énormément apprécié pendant un peu plus d’une année d’avoir un colocataire qui s’occupait beaucoup de la vie quotidienne et de certaines démarches, j’en avais besoin pour trouver un peu le temps de me poser de nouveau après les dernières épreuves. Tout comme j’avais aussi besoin de ce temps passé seul après ces mois passés à n’avoir d’autre énergie sociale que celle que je devais déployer parce que je vivais avec quelqu’un. Peut-être que dans pas longtemps, je serai prêt à me lancer dans d’autres aventures, ça risque d’être drôle.

Voilà où j’en suis. Est-ce que je vais bien ? Je ne sais pas, je sens bien que la dépression ne s’est pas forcément encore beaucoup éloignée : la tristesse est rarement présente au quotidien, l’ennui m’ennuie rarement, et j’ai dépassé le stade de la dépréciation personnelle permanente : je suis plutôt bien dans mes pompes. C’est plutôt positif, mais l’absence d’envie et d’espoir en l’avenir me font bien comprendre que tout n’est pas encore gagné. Disons que j’utilise cette compréhension pour essayer de me convaincre qu’il ne s’agit peut-être pas d’un état structurel, mais bien d’une dépression qui, c’est normal, met du temps à guérir.

Je ne suis pas contre l’idée de m’amuser. Et ça, c’est bien.

Ma période Boby #1 : le tabouret.

Il y a fort longtemps, dans une autre vie, mon meilleur ami et moi aimions nous déplacer avec des guitares (voire des mélodicas, des kazoos, un triangle, une toupie électrique, quand pas un accordéon) et passer des soirées à mélanger boissons et chansons. Nous chantions des chansons folks, du Pink Floyd, des Beatles ou du Brassens, et aussi un paquet de chansons de nos auteurs préférés : nous.

Ces dernières étaient rarement intellectuelles, et c’était très bien : quand on chante sans y être invité dans des estaminets, il vaut mieux s’attirer la sympathie du public, ce qui est plus facile avec des chansons drôles qu’avec des chansons sérieuses (encore que…) Ce n’est pas toujours la peine de se faire des nœuds dans la tête pour faire un succès populaire : deux de nos plus grands succès avaient été plus rapides à écrire qu’ils ne l’étaient à chanter.

L'informatique, c'est complètement con

Adoncques il advint que mon serveur mourût prématurément, et que par un timing rigolo, celui qui recevait ses sauvegardes l’ai précédé d’une paire de semaine, juste assez pour n’avoir pratiquement plus aucune sauvegarde récente.

J’ai ramassé les morceaux assez vite, parce qu’il s’agit quand-même de mon serveur de mail, entre autres, et j’ai relancé à sa place un serveur tout beau, tout propre. Tellement propre que plusieurs mois plus tard, je n’avais toujours pas remis de sauvegardes automatiques en place, je ne m’en suis occupé que ces jour derniers.

Parce qu’il ne sert à rien de ne conserver ses sauvegardes qu’en local, j’ai voulu remettre en place une copie d’icelles vers un autre serveur, et je me suis dit que pour les garder sous la main, et plutôt que d’être à la merci d’un serveur tiers, je pouvais les copier vers mon NAS.

Votre blog a vingt ans...

Que le temps passe vite !

Comme chaque année, particulièrement dans l'intervalle qui va du trois au cinq juillet (exclus), nous sommes le quatre juillet. L'anniversaire de la fondation du plus grand pays du monde, créé ex-nihilo par Jethro-Edern Amérique, sous la supervision directe et approbatrice de Dieu lui-même. Ou alors quelque-chose comme ça.

Par la même occasion, il se trouve que c'est l'anniversaire de ce blog, et le jour dans l'année où je me sens obligé d'y venir écrire un petit mot, quand bien même je n'y aurais pas mis les pieds pendant douze mois. Alors me voici.

Ce blog, donc, fête son anniversaire. Son vingtième anniversaire.

Caramba, encore raté

Voilà dix neuf ans que j’ai ouvert ce blog, ce qui ne fait pas peu. Bien sûr, il s’est beaucoup calmé ces derniers temps : au moment où j’écris, les derniers billets listés en page de garde sont encore ceux où je racontais les préparatifs de mon changement de vie, il y a maintenant deux ans. Tiens, il y en a un qui commençait comme ça : Ça se rapproche. C’est juste au coin. C’est bientôt. J’ai envoyé hier ma lettre de démission…

Depuis, j’ai peu écrit. Vous savez ce que c’est, on va bien, on est heureux, on a moins de temps à consacrer à toutes ces bêtises. Ou alors quelques-fois, on va moins bien, on a besoin de prendre un peu de recul. Bref, quand on ne veut pas écrire, toutes les raisons sont bonnes.

J’ai voulu quand même venir laisser un petit mot, pour l’anniversaire. Alors voilà : youpi, bon anniversaire, mon blog.

Il a changé, Oscar Wilde, depuis 1967

Voilà un moment que je n’ai rien écrit, si vous vous souvenez que j’existe, vous vous demandez sans doute ce que je deviens : je vais bien. Vivre avec le Fille sous la Pluie en étant moi-même sous la pluie, c’est plein d’aventure humaine, et féline aussi un peu, parce que maintenant, la famille compte deux matoutes.

Mais je ne suis pas là pour vous parler de ça. Si je reprends le clavier aujourd’hui, c’est pour vous raconter un petit détail que j’ai remarqué, dont je n’ai trouvé aucune trace sur les internets digitaux mondiaux, et qui aurait été un peu chiant à raconter sur Twitter. En plus, tout le monde s’en fout.

Au milieu des années nonante (oui, je parle toujours correctement, malgré mon éloignement des contrées civilisées), un petit groupe dont la production s’était quelque peu raréfiée a sorti trois double albums presque coup sur coup. Le petit groupe s’appelle les Beatles, et la série d’albums en question Anthology.

Pour les quelques ceux qui n’ont pas suivi, il s’agissait d’une rétrospective de toute leur carrière. Pas un best-of, mais des inédits, des maquettes, du live. Bref : du jamais entendu qui soulevait un peu le rideau pour donner un peu à voir l’histoire telle qu’elle avait été vécue depuis les coulisses (et aussi de couper un peu l’herbe sous le pied aux vendeurs de pirates). Le tout décliné en trois double albums, donc, une série documentaire d’une dizaine d’heures, et un bouquin de plein de pages qui pèse trois tonnes.

Cérémonie

Dernière ligne droite

Ça avance

Bon, j’ai rendu les clefs de mon ancien appartement, j’ai récupéré la caution, j’ai réservé le camion, j’ai bien avancé dans la paperasserie, le Fille sous la Pluie a commencé à investir le nouvel appartement à l’autre bout, les choses avancent. Et non seulement elles avancent, mais je pense avoir dépassé la plus grosse période de stress : vider l’appart et le nettoyer, tout seul parce que j’ai étalé les choses sur deux mois, ça a un petit peu été difficile, nerveusement.

T'as pas peur ?

Mouvage

boxes.jpg

Je suis épuisé. Épuisé par ce déménagement.

D’abord, je me suis dit que j’allais faire ça comme tout le monde : en louant un camion et en débauchant les potes. Sauf que je n’ayant ni ascenseur, ni fenêtre praticable en façade, ça veut dire tout descendre par l’escalier, raide, haut (d’aucuns se plaignent en montant mes trois étages d’en ressentir cinq), et où on ne peut guère passer à deux de front. Bref, comptons trois heures pour remplir un camion qui en demandera ensuite bien une dizaine pour faire la route, pour -rebelote- tout transvaser dans un troisième sans ascenseur. On peut donc s’attendre à une journée d’au moins seize heures de boulot. Du coup, je me suis dit que ça allait être compliqué, et qu’au diable l’avarice, j’allais faire ça comme un adulte et payer une entreprise spécialisée pour s’occuper de ça à ma place, d’autant que je n’ai pas tellement de meubles après tout. Aussi sec, hop, je demande des devis : non.

Ayé!

J’ai fini par finir : j’ai terminé le tri de mes photos du road-trip. Ça n’aura même pas pris trois ans. Je ne sais plus combien de milliers de photos j’avais faites au total, mais je suis arrivé à une sélection de moins de 300, moins de dix photos par jour, c’est drastique. Et c’est là. Pour fêter ça, je vous offre cette magnifique photo dont vous pouvez directement récupérer les couleurs pour faire une icônes iOS9. Et puisqu’il s’agit d’un road-trip, c’est toujours plus rigolo de le visualiser sur une carte : c’est ici.

Je parie qu’à présent l’envie de revoir du pays va revenir. Envie qui attendra un peu, puisque je me prépare à une autre sorte de voyage (dont je reparle bientôt).

Maintenant, faire une sélection de cette sélection pour avoir un album papier souvenir.

(Billet mis en ligne avec beaucoup de retard, j’en suis désolé. Mais bon, on s’en fout un peu, non ?)

Survival

Vous savez que je ne désespère pas de terminer un jour le classement de ces photos ? Plus qu’une dizaine de jours à trier (donc juste 500 ou 600 photos. Une paille.)[1] Je sais bien que ça traîne un peu, mais vous savez ce que c’est : la vie, tout ça. J’ai autre chose à faire. Sauf que ce truc inachevé me pèse.

Vous avez vu celle-là ? Les drapeaux, la vieille Packard, les motels, le panneau Route 66, celui de l’Arizona, et la pub pour le magasin pour survivalistes. Fait-on plus américain ?

Note

[1] Rappel : l’album en cours (depuis trois ans) est sur Flickr.

J'ai un truc à vous raconter

Bon alors, attends… Où est l’interrupteur, déjà ? Ah, voilà. Oh, ça me rajeunit, dis. Mais bon, c‘“est un peu poussiéreux ici, on voit que ça n’a pas servi depuis longtemps. Oui, d’accord, je suis venu allumer de temps en temps et changer l’image dans le cadre, mais à part ça, c’est vrai que ça fait un bail.

Je ne sais plus où j’ai lu quelque-chose qui disait plus ou moins “Je n’aime pas quand les gens que je suis ne disent plus rien sur Internet. Je ne sais pas s’ils sont heureux ou morts”. Bon alors, j’ai une nouvelle : je ne suis pas mort.

magnets-640.jpg

Je ne suis pas revenu dans le coin pour vous raconter ma vie par le menu, mais l’optique dans laquelle j’ai ouvert ce (qui n’était pas encore appelé) blog, c’était pour éviter d’avoir à raconter mes aventures d’emménagement à Bruxelles individuellement. En les racontant ici, ça me permettait de tenir à jour ceux qui le souhaitaient, tout en m’évitant de raconter la même chose à chaque copain que je croisais, et en laissant de la place pour autre chose dans les discussions. Du coup, ça me paraît pas mal de faire les poussières un petit peu pour venir vous raconter au moins la nouvelle importante qui va un peu boucler la boucle avec l’ouverture de ce carnet : je m’en vais.

Alwijn 2016

Récemment, juste comme ça parce que nous en avions envie, mes petits camarades d’Alwijn et moi avons fait un petit bœuf. Enfin, mes petits camarades disponibles, puisque notre guitariste est toujours exilé dans le sud. Ça s’est plutôt bien passé au vu des circonstances, ma foi. Les circonstances en question étant donc l’absence du guitariste/chanteur, celui qui a toujours fait le gros du travail mélodique en quelque sort. Aussi un batteur qui n’avait repris ses baguettes que depuis peu après une paire d’années interruption, et un bassiste (votre serviteur) qui lui n’avait touché une basse qu’en dilettante sur le canapé au cours des cinq ans écoulés depuis la dernière fois que nous avions joué ensemble (et avec une putain d’inflammation au doigt depuis l’été dernier qui m’a vu pratiquement incapable de jouer quelque instrument à corde que ce soit, s’il demande plus physiquement qu’un ukulélé[1]).

Bref, nous voilà tout rouillés, n’ayant pas joué ensemble depuis des années, et en train d’improviser complètement les arrangements puisque n’ayant plus l’instrument principal sur lequel s’appuyer. Forcément, il y a des flottements[2], mais je trouve que vu les conditions, nous ne nous en sommes pas sortis si mal :

Notes

[1] Ça commence doucement à aller mieux : j’ai repris un peu la guitare ce mois-ci.

[2] Et un break bien foiré au milieu. Hein? C’est quoi déjà ? Ah oui, on repasse en majeur, et puis fa et… ah merde, raté.

2016

Il n’y a franchement pas eu que du bon en 2015. Il y a même eu du bien pourri.

Mais j’ai fini l’année heureux.

Bonne année.

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